Nous sommes lents à croire ce qui fait mal à croire.

Pour croire il faut vouloir croire.

Il ne faut jamais croire ce qu'on est disposé à croire.

C'est une erreur de ne pas croire et une faute de tout croire.

Les plus prompts à croire trop peu sont ceux qui ont commencé par croire trop.

Il faut croire d'abord. Il faut croire avant toute preuve, car il n'y a point de preuve pour qui ne croit rien.

Il ne s'agit pas de croire ou de ne pas croire. Il s'agit de savoir ce qu'on veut. Or on ne veut rien d'autre que l'Éternité.

On risque autant à croire trop qu'à croire trop peu.

Pour faire le bonheur de son mari, il faut croire son mari et ne pas croire au bonheur.

Agir, c'est croire.