Derrière toute réussite, il y a une épouse ravie et une belle-mère étonnée.

Aux dernières étrennes, j'ai offert une chaise à ma belle-mère. Aux prochaines, je la ferai électrifier.

Il n'y a pas de bonheur parfait ! dit l'homme quand sa belle-mère mourut et qu'on lui présenta la note des pompes funèbres.

Je connais une belle-mère qui couche avec ses lunettes pour mieux voir souffrir son gendre dans ses rêves.

Quand une épouse devient belle-mère, elle rabâche ses vérités comme une vieille mule tourne la meule.

La belle-mère apparaît et on se comporte comme le meurtrier d'un roman de Ray Bradbury qui essuie ses empreintes de la pomme tombée de la coupe à fruits.

Avoir sa belle-mère en province quand on demeure à Paris, et vice versa, est une de ces bonnes fortunes qui se rencontrent toujours trop rarement.

Une belle-mère, c'est une dame qui donne sa ravissante fille en mariage à un monstre horrible et dépravé pour qu'ils fassent, ensemble, les plus beaux enfants du monde.

La belle-mère et la bru dans la même maison sont comme deux chats dans un sac.

À moins d'être stupide et sourd, il est difficile d'être une belle-mère ou un beau-père.