Enfant, vous êtes l'aube, et mon âme est la plaine Qui des plus douces fleurs embaume son haleine Quand vous la respirez.

La veille de la fête des Secrétaires, il y a sûrement de nombreux patrons qui ont dit à la leur : "Nicole, vous penserez demain à vous acheter un bouquet de fleurs."

On a toujours associé la campagne à l'amour et l'on a bien fait : rien n'encadre la femme que l'on aime comme le ciel bleu, les senteurs, les fleurs, les brises, la solitude resplendissante des champs ou des bois.

En automne, je récoltai toutes mes peines et les enterrai dans mon jardin. Lorsqu'avril refleurit et que la terre et le printemps célébrèrent leurs noces, mon jardin fut jonché de fleurs splendides et exceptionnelles.

Les unes aiment les fleurs, les autres le fleuriste ; les unes assument, les autres bluffent et pleurnichent.

Nous devons apprendre à respecter la vie sous toutes ses formes : il ne faut détruire sans raison aucune de ces herbes, aucune de ces fleurs, aucun de ces animaux qui sont tous, eux aussi, des créatures de Dieu.

Faut toujours faire attention à ce qu'on mange ! Le manger, c'est beaucoup plus que du manger, c'est de l'amour.

La générosité n'est souvent que l'aspect intérieur que prennent nos sentiments égoïstes quand nous ne les avons pas encore nommés et classés.

On ne reçoit pas la sagesse, il faut la découvrir soi-même, après un trajet que personne ne peut faire pour nous, ne peut nous épargner.

Un jardin, même tout petit, c'est la porte du paradis.